Il embue les lunettes , réduit le champs visuel … et peut être que finalement il nous oblige surtout à relever la tête. Canaliser notre concentration sur l’ouverture du regard et mettre l’accent sur l’importance de se faire face. Offrir un visage qui en envisage qui ne présume pas de l’autre.
Faudrait-il réapprendre à se regarder, à s’émerveiller…?
Serait-il si inhabituel de se poser sur le fil d’un regard, d’accueillir l’autre dans un espace suffisamment vaste et sécure pour qu’il se dépose. Oser cette expérience d’apprivoisement réciproque, des yeux qui se feraient coussin, qui inviteraient à partager un thé entre ami(es), qui nous permettraient de nous reconnaitre dans toute notre humanité.